Chaque année, de nouveaux apiculteurs apparaissent en Belgique. Un peu partout, des hommes et des femmes jeunes ou moins jeunes et de milieux professionnels diversifiés se lancent dans une activité qui semble si simple au premier abord.
e qui les pousse est fort variable : quelquefois, c’est un oncle qui possède quelques ruches ou un voisin qui abandonne opportunément son rucher ; parfois, c’est le plaisir de la découverte, souvent c’est la volonté d’agir en faveur de l’environnement, et puis il y a le désir de produire du bon miel pour en donner à ses proches et vendre éventuellement le surplus. Les motivations ne manquent donc pas.
Ce sont plutôt les connaissances qui font défaut. En effet, de nos jours on ne s’improvise plus apiculteur sans courir le risque de vivre un désastre. Le temps où l’on se contentait d’avoir quelques ruches à visiter trois fois par an est révolu. Plus que jamais, on est confronté à des menaces qui nécessitent un sérieux apprentissage. Mieux vaut le savoir, réfléchir suffisamment à l’avance et se hâter lentement. L’apiculture sera toujours une école de patience.
Lisez le dossier complet 8 pages « Je serai apiculteur » dans notre magazine L’Esprit Jardin N°25 – mars 2017.