Une haie vivante est toujours locale (et donc indigène) ; c’est une véritable autoroute pour la biodiversité, un lieu d’échange permanent où la vie foisonne.
Au printemps, la haie indigène offre des fleurs aux butineurs et attire les oiseaux qui viennent y nicher. Elle sert de refuge au hérisson. Elle est squattée par le muscardin. Elle est le métro de la chauve-souris, qui emprunte chaque jour la même ligne. À son pied se déplacent crapauds, grenouilles et tritons. Bref, grâce à la haie naturelle, pendant que nous vaquons à nos occupations, la nature vaque à la sienne…
Pour en savoir plus, retrouvez l’article complet (« Et si on plantait des haies et des vergers ? ») dans le numéro 63 (novembre 2020).
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